jeudi 3 janvier 2008

la première de l'année

Mardi soir, fin de premier janvier, je suis dans la cuisine pour me préparer un thé vert (ben oui, faut bien commencer à évacuer tous ces excès !). J'entends Maude virevolter dans l'appartement avec son fauteuil, sans y prêter vraiment attention. Tout à coup, Maude me dit "maman, gade, cou vi" ce qui veut dire, et j'ai mis quelques secondes à le comprendre : "Maman regarde, je cours vite"!! En fait, elle avait mis le fauteuil sur la vitesse maximum (je suis certaine de ne pas l'avoir fait moi-même, elle a donc bien observé comment on faisait) et éclatait de joie en "courant" partout. Quelle émotion !

Aujourd'hui, j'ai voulu prendre quelques photos de Maude en fauteuil pour illustrer ce post

et comme vous pouvez le voir




j'ai eu...




... un peu de mal à y arriver !


Ce post un peu léger pour me défaire des soucis qui m'assaillent ce soir suite à notre visite ce matin au médecin référent de Maude, à Garches. On a parlé scolarisation et je sens là un sujet qui va me prendre toute l'année qui vient, avec de lourdes décisions à la clé. Demain, il fera jour...

2 commentaires:

agnès a dit…

Coucou,
Mais cette Maude elle se croit au Mans ! Super Mademoiselle pour le maniement de ton bolid, Maman peut être fière de toi.
Christine, j'espère que tu es moins soucieuse aujourd'hui. Je connais bien ce sentiment de ras-le-bol, de découragement et de déprime parfois quand on se dit que tout cela est trop lourd, que nous n'y arriverons pas. Mais tu le sais maintenant, nous parvenons toujours à trouver des solutions et pour la scolarité de ta fille je sais que tu feras pour le mieux.
Amicalement
Agnès

Christine a dit…

Agnès,
c'est sûr que tu connais aussi ce ras le bol. Ce soir, j'suis encore énervée mais parce que cette fois je suis obsédée par le flexum des genous de Maude qui s'est accentué ! C'est vrai que tout paraît si lourd parfois, et pourtant on y arrive, mais l'énergie à dépenser est vraiment énorme.
Je te souhaite une très bonne année à toi et tes 3 koalas, bises à vous 4.